« Danny qu’est-ce que tu as encore fait ? Ca fait déjà deux fois cette semaine que le proviseur nous a appelés, et après ce qu’on t’a dit la dernière fois tu as recommencé ? », ma mère se dirigeant vers moi, plus inquiète qu’en colère, alors qu’elle commençait à sortir un mouchoir pour m’essuyer le peu de sang qui coulait de ma lèvre légèrement ouverte, mon père lui…c’est au chose, « Encore…tu nous fais honte fils, tu fais passer le nom de notre famille comme des personnes sans éducation, ce n’est pas l’héritage que ma laissé mon père, et je ne te laisserais pas la détériorer, tu as plutôt intérêt à calmer tes ardeurs et cessez de nous faire honte ainsi ! », je me suis mis à grogner avant de fixer mon père avec le regard noir, lourd de reproche et me suis mis à lui dire sèchement, «  De toute façon, je me fous de ce que tu dis, et de ce que tu penses de moi ! Et encore plus du nom de notre famille…tu n’en a rien à faire de moi, pourquoi je devrais t’obéir, tout ce qui compte pour toi c’est ton argent… », je n’ai pas eu le temps de finir ce que j’avais à lui dire qu’une claque monumentale est parvenu jusque ma joue, encore heureux que ce ne soit qu’une claque, je me suis mis à soupirer, baisant les yeux, alors que des larmes de rage et de colère se mirent à couler sur ma joue, mon père s’en alla juste après et ma mère releva mon visage, « Tu ne dois pas lui parler ainsi Danny, c’est ton père, et tu sais très bien qu’il tient à l’héritage de sa famille, tu devrais en faire autant pour le rendre fière… », je me suis mis à fixer ma mère le regarde triste et affirma, «  Et moi alors ? Tu crois que je suis fière de lui lorsque je le vois ainsi ? Pourquoi devrais-je lui faire ce geste, alors qu’il n’en a eu aucun pour moi à part de me gifler comme il le fait si bien ? », ma mère se mit à soupirer, malgré le fait qu’elle savait que j’avais raison, elle ne répondit pas au fond je la comprends elle aime énormément mon père et ne veut pas lui faire du mal en lui disant que son comportement laisse à désirer, je ne suis pas le fils parfait qu’il a tend désir, ça je suis au courant, mais je ne me rabaisserais pas à jouer les petits bourgeois pour lui alors que je déteste l’attitude qu’il a entrepris d’avoir juste pour avoir les mérites de ces compères. Je sais ce que je veux dans ma vie et ce n’est surement pas d’arriver à lui ressembler un tant soit peu.

Un peu plus tard, alors que je suis resté avec ma mère et le proviseur pour régler cette histoire de bagarre, je me suis retrouver plus tard à rentrer à la maison, ou encore une fois des invités nous attendaient, mais je n’ai pas pris la peine de les saluer et j’ai directement rejoint ma chambre, la colère toujours afficher sur mon visage, alors que je me laissais tomber sur mon lit afin de respirer un peu et ne penser à rien, j’entendis toquer à la porte et eu la surprise de voir ma sœur entrer pour me poser la question, « Qu’es ce qui s’est passé Aidan ? », je me suis mis à soupirer avant de me redresser sur le lit et de la fixer, affichant mon visage quelques peu balafrer, « Ils ont recommencés à l’école, à insulter nos parents, je me suis battu avec eux et père s’est mis en colère, me giflant de nouveau, comme d’habitude j’ai envie de dire… », elle s’approcha pour regarder davantage mon visage, je la voyais grimacer et soupirer et me prendre la main pour la serrer en soutien, elle ajouta, « Tu sais, tu devrais en parler à père de ce que tu subis à l’école ! Le fait que ces garçons n’arrêtent pas de te chercher en insultant notre famille et racontant des mensonges ! Tu sauves l’honneur pour moi en les remettants à leurs places… », je me suis mis à lui sourire avant de la regarder et de dire sérieusement, «  Tu parles, père ne comprendrait pas pourquoi j’agis comme ça ! Puis de toute façon quoi que je fasse, il ne sera jamais content, car il sait très bien que je ne veux pas être comme lui et que je m’en fous un peu de reprendre l’industrie de la famille… ! », elle me regarda avec ce regard d’incompréhension, on n’en avait discuté ensemble plusieurs fois, mais elle n’arrivait toujours pas à comprendre pourquoi je ressentais tant de haine envers père, et pourquoi je ne suis pas satisfait d’être riche et de pouvoir posséder tout ce que je désir, je ne pouvais pas la forcer à voir comme moi, à être satisfait de ce qui me semble nécessaire et qui n’est en nulle point l’argent, mais c’est ainsi, je me rend compte que malgré tout ce que je peux faire, je serais toujours détester par mon père puisque je ne suis pas le chemin qui m’a tracer pour moi. Pourtant, malgré le fait que je sois en colère contre lui, je ne lui en veux pas, ni à ma famille d’ailleurs, de ne pas réussir à comprendre pourquoi j’essaye à tout prix de fuir ce que je suis réellement, le fils d’un homme riche et héritier de quelque chose de grand mais c’est un trop gros poids à porter pour moi, je sais que je n’en seras pas capable et qui plus est je ne suis pas ce genre de personne à suivre comme un toutou les règles préétablies, non je suis quelqu’un qui aime la liberté, se sentir libre de ses mouvements et de ses ambitions et de ne surtout pas s’attarder sur des choses qui n’ont aucune valeur ou principe pour la vie à mener.

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Trois ans plus tard, j’avais décidé de laisser les choses se tasser un peu, en écoutant un tant soit peu mon père, faisant ainsi plaisir à ma mère et à ma sœur que je chérissais tant. Malgré moi, et mon ressentit pour tout cela, j’essayais de m’intégrer à cette vie faite de luxe et de surenchérissement à n’en plus finir, de vouloir à tout prix être les premiers devant les nombreuses familles très quottés et riches de New York. En réalité, notre famille, du moins du côté de mon père vient du Canada, le père de mon père a longtemps vécu là-bas y construisant lentement son industrie avant de débarquer à New York avec la ferme intention de devenir l’une des familles les plus puissantes de cette ville. Et il y est parvenu, malgré les difficultés du début, et c’est à ça que mon père s’attache, à cette héritage qui est certes magnifique et très riche en histoire mais qui dans le fond ne m’intéresser pas plus que cela, mon visage était toujours tourner vers l’horizon à savoir ce qu’il y a au loin et non devant moi à boire les paroles d’un professeur particulier qui essayait malgré lui de m’apprendre au maximum à savoir gérer toutes une entreprise surtout aussi grande que celle de mon père. Je ne sais pas pourquoi d’ailleurs ça m’arrive à moi, son seul fils, il doit surement le regretter de toute façon en me voyant agir de la sorte. Mais je ne voulais pas rester enfermer à cause de cette héritage, j’avais besoin de grandir par moi-même, d’être libre, de voir autre chose et de penser à autre chose, je n’ai d’ailleurs pas eu l’enfance et même l’adolescence que je voulais, et je ne veux pas que cela continue en sachant que ma vie d’adulte allait être gâcher par cela. Je ne regrette pas l’éducation qu’on m’a apporté, puisque je reste quelqu’un de discipliné, intelligent, courtois et honorable mais pourtant il y a certain aspect qui ne me plait et par moment il y a des manques, les rares fois où je suis sortie faire la fête lorsque j’en ai eu l’occasion m’ont totalement appuyé sur mon prochaine objectif même si la raison première est quelque chose de beaucoup plus dur à avaler.

Alors que je viens à peine d’avoir ma majorité et donc mes vingt un ans, mon père m’annonça quelque chose qui m’a refroidit d’un seul coup, en effet alors que je commençais à déballer les cadeaux de ma famille et de mes amis, mon père lui annonça, «  Mon fils, je suis très content pour toi, tu entre dans l’âge adulte, et tu vas avoir maintenant de nombreuses responsabilités, notamment au sein de l’entreprise. Mais il est temps pour toi, de réellement comprendre ce qu’est la vie d’un adulte, j’ai donc tout préparé de mon côté, et dans quelques mois tu te fianceras avec la fille de Monsieur et Madame Lewis, c’est une très belle femme, qui va nous permettre de fusionner avec leur entreprise et ainsi gagner et distancer d’avantage nos adversaires, je lui ai déjà montré quelques photos de toi et elle a hâte de te rencontrer. », tout le monde dans la salle est resté bouche bée pendant quelques secondes avant de se mettre applaudir lâchement pour féliciter mon père, la plupart étant des employés de l’entreprise, ma mère présent à mes côtés fut tout aussi surpris que moi et me serra les épaules en me soutenant, lançant un regard d’incompréhension à mon père, ce salaud me pris de court, et devant une salle blindé de personne, toutes aussi influente les unes que les autres, sans réfléchir, je me levais en colère , m’excusant auprès de tout le monde et de m’enfuir, allant m’isoler dans une autre salle, frappant lourdement le mur qui me faisait face, la douleur de mes doigts montant petit à petit. Ma mère dans la salle d’à côté s’empressa d’aller parler discrètement à mon père alors que ma sœur me rejoint assez rapidement, commençant à me mettre de la glace sur les doigts, je grimaçais à la douleur et elle me dit, «  Pourquoi tu as fait ça, tu es fou, tu as surement des doigts cassés !? », je haussais les épaules alors qu’elle continua de prendre soin de ma main, elle est comme ça, sans même que je lui demande quelques choses elle s’occupait de moi malgré le fait que je sois plus grande qu’elle en âge, j’avais toujours cette impression d’être le petit frère qu’on doit protéger face à elle, et ça me fait grandement du bien à vrai dire. Je me suis donc mis à lui répondre, un peu triste, « Je m’en fou…tu as vu ce qu’il a osé me faire franchement…et il se considéré comme étant mon père, il a réellement cru que j’allais accepter ça ? … Je vais m’en aller sœurette, je peux plus reste ici… », elle leva son regard sur moi, et commença à pleurer avant de me gifler, la premier fois qu’elle a un geste violent envers moi mais je ne peux lui en vouloir, «  Comment tu peux dire une chose pareil, tu as pensé à moi, à maman, tu veux partir comme ça et nous abandonner ? », je la regardais davantage, avant de la prendre dans mes bras et la serrer fortement en disant, « Je suis désolé sœurette…je ne peux plus le supporter, ça ne fera qu’empirer entre nous, et avec vous au milieu, je ne veux pas que vous prenez parti de l’un ou de l’autre, c’est le mieux pour tout le monde, j’y avais déjà penser mais après ce qu’il vient de me faire là, je ne peux pas…je suis sincèrement désolé. », je la serrais encore plus avant de lui embrasser le front et de faire, «  Je t’aime sœurette, on n’aura l’occasion de se revoir je te promet, je te donnerais de mes nouvelles, dit à maman que je l’aime aussi et qu’elle n’a pas à s’en vouloir… »

Je me suis donc préparer, en allant rapidement faire ma valise, je devais partir au plus vite afin de retirer un peu d’argent, avant de mon père soit au courant et qu’il me bloque toutes mes cartes de crédit, j’ai donc entrepris d’aller virer un peu d’argent sur un compte bancaire personnelle qui se débloquerait automatiquement lors de ma majorité et où mon père ne peut avoir aucun droit dessus. Je laissais un mot à ma mère, à ma famille, et je disparais je suis resté un ou deux jours de plus à New York afin de faire quelques papiers avant de quitter définitivement le pays m’en allant vers une destination qui m’a toujours attirer qui est l’Europe. Là-bas je suis resté quelques mois en France et en Angleterre avant de m’installer définitivement en Irlande dans une ville appelé Sligo, que je trouvais plutôt tranquille et sans soucis, je commençais à m’habituer à la vie là-bas, je commençais à manquer d’argent, malgré tout ce que j’ai mis de côté, alors pour pouvoir gagner ma vie, je me suis mis à travailler ayant des connaissances assez poussé en mécanique, je passais garagiste car en réalité je suis pris de passion par les voitures. Mais pour moi ça suffisait pas, surtout pour la vie que je menais alors je prêtais ma personne en passant également Escort Boy généralement en soirée, j’ai eu une éducation irréprochable autant la mettre en service pour ces dames seules qui réclament un peu d’attention et de vouloir passer un bon moment, ce que je fais depuis maintenant 3 ans où je suis installé dans cette ville d’Irlande.