Alors là, on peut dire que tu es bien amochée ce soir. Tu as bu une quinzaine de bières, alors autant dire que tu ne marches pas très droit. Tu viens tout juste de sortir du bar où tu étais avec des potes. Vous avez dansés, but, et surtout draguées. Mais aucun homme ni femme ne t'as vraiment plut. Tout le monde à but. Vous avez oubliés de désigner un Sam. Vous êtes connes parfois. Du coup, tu ne peux pas prendre de véhicules. Du coup, tu marches dans la rues, avec tes talons, ta jupe très courte verte et ton haut décolté noir. Tu portes une veste de tailleur noir. Tes cheveux sont un peu en pagaille. Il n'y a plus vraiment de coiffure. Tu regardes autour de toi. Tu ne vas quand même pas rester toute la nuit dehors, si? Il est presque trois heures du matin. Tu continues de marcher mal grès tout. Tu fouilles dans la poche de ta veste et sort ton paquet de clope. Tu t'en grilles une, cherchant encore où aller. Tu te balades dans une rue que tu connais assez bien. Tu t'arrête devant un immeuble et essayes de te rappeler du code de l'immeuble. Impossible de savoir. Heureusement pour toi, un groupe de gas entrent dans l'immeuble, te laissant entrer à ton tour. Tu écrases la clope dans le hall de l'immeuble et montes les escaliers tant bien que mal. C'est au deuxième étage, à ce que tu te rappelles. Tu n'en es pas sûr mais tu vas quand même essayer de trouver son loft. Tu sonnes à la porte et attend devant. Il fallut une dizaines de minutes et que tu sonnes deux fois avant que Marzia t'ouvres la porte. Tu ne sais pas si elle dormait ou pas et à vrai dire, c'est le dernier de tes problèmes. Tu lui souris avant de t'approcher d'elle. Salut toi. Tu murmures contre ses lèvres. Elle a dut sentir à ton haleine que tu avais bu, et pas qu'un peu. Tu entours son cou par tes bras. Tu te colles à elle et l'embrasses. Tu la pousses en arrière, pénétrant dans ton appartement. Tu ne lui demandes même pas la permission. Laissant vos langues jouaient entre elles, tu restes accroché à son cou. Tu te recules un peu et te met à rire. Tu ne sais même pas pourquoi tu ris. Tu la contournes et te diriges vers son salon. Tu te remet à rire, parce que tu as faillis te casser la gueule à cause de tes talons. Tu les retires et les jettes sur le côtés. Tu regardes autour de toi avant de poser le regard sur elle. Tu enlèves ta veste et la jettes sur le canapé. T'es super sexy dans ton petit pyjama. Tu souris, ne la quittant pas des yeux. Tu n'aurais surement pas dû venir ici à cette heure-ci. Mais, vu dans l'état où tu es, tu ne pouvais pas continuer d'errer dans les rues de la ville. Mais, tu serrais mieux sans. Tu ne bouges pas, essayant de reprendre un peu tes esprits.

don't you feel how much i want you ?

Assise sur le bord de la fenêtre de mon appartement, je contemple la vue que j'ai de Rockwood et tire une énième fois sur mon joint. C'est déjà mon deuxième et je me sens partir, ma tête me tourne, ma gorge me brûle et mes idées ne sont plus très claires. Je me sens bien, le vent de dehors caresse mon visage ainsi que mes épaules dénudées. Seulement vêtue d'un débardeur et d'un short qui me servent de pyjama, je sens les poils de mes bras se hérisser. Je posai ma tête contre le mur et tirai une grande bouffée de marijuana avant de lentement souffler la fumée, attentive aux bruits dans la rue. Des gens crient, chantent, visiblement bourrés. Soudain, la sonnette de la porte d'entrée retentit dans la pièce et me tire de mes pensées. Je n'ai aucune idée de l'heure mais elle doit déjà être bien avancée. Sans me poser trop de question, je fais comme si je n'avais rien entendu et retourne dans ma contemplation du ciel en tirant une nouvelle fois. Quelques minutes s'écoulent avant que la sonnette ne résonne à nouveau. En soupirant, j'écrase mon joint dans le cendrier, ferme la fenêtre et me dirige vers la porte. À peine l'ai-je ouverte que déjà les lèvres de Tara viennent se poser contre les miennes. Elle sent l'alcool mais plutôt que de me déranger, cela me tire un sourire en coin. « T'as perdu ton chemin chaton ? » soufflai-je en plantant mon regard dans le sien. Je ne peux m'empêcher de la dévorer des yeux. L'effet de la beuh est fortement présent et cela ne fait qu'accentuer mon envie de lui sauter dessus là, maintenant. Visiblement, elle est dans le même état que moi. Alors qu'elle entre chez moi, je ferme la porte et la suis du regard, me retenant de rire lorsqu'elle manque de se fracasser la gueule. Sa remarque me plaît, je m'approche d'elle, glisse mes lèvres jusqu'à son oreille. « Tu n'as qu'à me l'enlever. » Je m'écarte légèrement, curieuse de connaître sa réaction. Elle est bourrée et n'est donc pas totalement maître de ses actes mais après tout, je ne le suis pas non plus. Tara a toujours eu le don pour exercer une étrange attraction sur moi et je ne vais certainement pas me gêner de profiter de sa présence dans mon appartement. Pas à pas, je recule sans la quitter du regard, faisant glisser la bretelle de mon top sur mon épaule. J'aime la narguer, presque autant que de sentir la chaleur de son corps contre ma peau. « Par contre, c'est donnant donnant. Un vêtement en moins chez moi, c'est deux chez toi. » Je lui lance un regard provocateur, adossée contre le mur à seulement un ou deux mètres d'elle.

Ta première idée lorsque Marzia ouvrit la porte, fût de l'embrasser. Et tu le fis, sans aucune gêne. De toute façon tu savais qu'elle n'allait pas te rejeter. Tu étais entré dans son appartement, sans faire attention à sa question. Tu avais faillis de casser la gueule. Tu avais surement l'air ridicule, mais tu t'en foutais. Tu avais enlevé tes talons et ta veste. Tu ne pouvais détacher ton regard de la blonde qui se trouvait face à toi. En même temps, vu comment elle est sexy dans son petit pyjama, ensemble top et short. Grr, tu pourrais lui sauter dessus, là maintenant. D'ailleurs, c'est bien ce que tu comptes faire. Tu lui parles de sa tenue, de tes gouts. Que tu préférerais la voir sans son pyjama, aussi sexy soit-il. En même temps, tu sais bien que dessous, il y trois fois plus sexy. Elle te dit que tu n'as qu'à l'enlever. Elle le dit à ton oreille, se qui te fais ressentir quelques frissons le long de tes bras. Tu souris. Il ne faut pas te le dire deux fois ça. Tu avances vers elle alors qu'elle se colle au mur, imposant une condition. C'est un peu inégale ça, mais comme tu voudras. Tu ne vas pas t'en plaindre non plus. Tu enlève ton haut et ta jupe, te retrouvant en sous-vêtements devant elle. Tu souris et t'approches d'elle. Elle te provoque et en vrai tu adores ça. C'est surement ce qui te plait le plus chez elle. Tu l'embrasses à nouveau, plus passionnément, plus sauvagement. Tu lui enlèves son top que tu lances sur le côté. Ton regard descend directement sur sa poitrine généreuse. Tu mordilles ta lèvres inférieur. Des pensées pas très catholiques te traversent l'esprit. Tu passes tes mains sur son ventre alors que ta tête s'enfouis dans son cou, y déposant quelques baisers. Tu attrapes l'élastique de son shorty et le fais tomber parterre. Tu caresses le bas de son ventre puis poses tes mains sur ses fesses, tirant son corps plus près du tien. Tu remontes tes lèvres à son oreille que tu mordilles légèrement avant de murmurer. Pas mal du tout ce petit ensemble. Tu souris et te recules, la regardant de haut en bas. Elle avait un ensemble string, soutien-gorge très sexy. Tu attrapes sa main et la tires vers le canapé, mordillant ta lèvres. Tu ne sais pas si c'est l'alcool qui fais ça, mais tu as envie d'elle. Très envie d'elle. En fin de compte, l'alcool n'y est peut être pour quelque chose, mais pas trop non plus. A chaque fois que tu la vois, tu la désires. Tu la veux dans ton lit. En même temps, quel homme ou qu'elle femme attiré par les femmes normalement constituée ne désirerait pas Marzia? Aucune à mon avis.

don't you feel how much i want you ?

Je suis ravie qu'elle se trouve ici, ravie d'enfin pouvoir la toucher, l'embrasser. J'apprécie beaucoup cette fille même si je n'ai pas pour habitude de m'attacher aux personnes avec qui je couche. D'un coup d'oeil, je la déshabille du regard. Elle est clairement mieux foutue que moi, j'en suis presque jalouse. Tara est vraiment une fille canon. Ses cheveux sont sublimes, ses yeux envoûtants, ses lèvres plus qu'attirantes et son corps a le pouvoir d'exciter n'importe qui. Dont moi. Ce soir, elle est là chez moi, ivre, je suis défoncée et j'ai envie d'elle plus que d'autre chose. J'ai envie de lui arracher ses vêtements, mais je préfère quand elle entame les choses. J'aime sentir ses doigts glisser sur mon corps, ses baisers dans mon cou. Je soupire d'aise, les paupières fermées, profite de chaque contact entre ses lèvres brûlantes et ma peau qui ne cesse d'en redemander. Quand elle me dit que c'est inégale, je hausse les épaules. « J'ai moins que toi je te signale, » me contentai-je de répondre alors que des frissons me parcourent le corps entier.  Elle finit en sous-vêtements et à mon tour, je me mords la lèvre inférieure. Ses formes m'appellent, elles réclament mes caresses, mes baisers. Elle m'embrasse et je réponds à son baiser avec la même passion, la laissant retirer mon débardeur avant de glisser mes mains sur ses hanches. Lorsqu'elle mon short tombe sur mes chevilles, je m'en débarrasse en l'envoyant balader de l'autre coté de la pièce. Je ne réponds pas à son compliment, me contentant de passer sensuellement ma langue le long de ses lèvres. Elle m'attire vers le canapé et je la couche dessus afin de me retrouver au-dessus d'elle.  « T'as toujours réussi à me rendre complètement folle, » je murmure en déposant des baisers le long de son cou, descendant jusqu'à sa poitrine. Je glisse ma main dans son dos afin de détacher son soutien-gorge et libère ses seins que je viens ensuite embrasser. Ma langue effleure son téton durci tandis que mes doigts continuent leur voyage jusqu'au bas de son ventre. Je remonte mes baisers jusqu'à ses lèvres que je mordille doucement. Mon poul s'accélère, tout comme ma libido. Je colle mon corps contre le sien, le bas de mon ventre se frottant au sien. Je glissai ma main à l'intérieur de sa culotte, directement en contact avec ses fesses, en profite pour l'attirer un peu plus contre moi. Prise en plein élan, je me débarrasse ensuite de son dernier vêtement que je fais glisser le long de ses jambes. Elle a la peau extrêmement douce, je pourrais la caresser pendant des heures.

Tu n'aurais pas pu avoir de meilleure idée que de venir chez Marzia qui t'as accueilli comme tu l'espérais. Toujours très accueillante cette fille. Vous vous retrouviez dans son appartement, à vous déshabiller et vous embrassez. Tu sens des frissons te parcourir à chacun de ses touchés. Tu l'entraines vers le canapé où elle te couches. Elle se met sur toi. Vous êtes en sous-vêtements. Vous avez envie l'une de l'autre, même un aveugle pourrait le voir. Tu poses tes mains sur ses fesses tandis qu'elle dépose des baisers sur ton cou puis sur ta poitrine. Elle te dit que tu as toujours su la rendre folle. Ca tu le sais, elle te rend folle aussi. Même un peu trop parfois. Normal, je suis trop sexy. Parfois ce serrait pas mal que tu te taises. Ou que tu réfléchisses avant de parler. Enfin bon, on va dire que tu as dit ça à cause de l'alcool hein. Elle dégrafe ton soutien-gorge tandis que tu caresses ses fesses, ses fesses bien formé. Elle a des formes qui te rendent dingue. Elle embrasse tes seins, lèche ton téton, ce qui te fais frissonné, ce qui te fais perdre la tête. Tu soupires de plaisir. Tu sens ses mains s'aventuraient sous ta culotte, caressant tes fesses. Tu mordilles ta lèvre, ne la quittant pas des yeux. Tu sens son corps frotter contre le tien. Tu ne la quittes pas des yeux. Tu sens ton envie augmenté. Tu as très envie d'elle. Tu passes ta main le long de son bras, la faisant frissonné. Elle est douce, elle est belle. Tu sens ta culotte descendre le long de tes jambes. Dans un mouvement rapide, tu l'envoies sur le côté. Tu remontes ta main qui était sur ses fesses, le long de son dos. Le caressant doucement. Tu arrives à son soutien-gorge que tu retire. Sa poitrine est enfin libre. Encore plus belle que lorsqu'elle était habillé de son soutien-gorge. Tu la fais basculé sur le côté, te mettant au dessus d'elle. Tu admires ses formes en souriant avant d'aller sucer un de ses seins. Tu caresses son ventre de ta main droite. Tu mordilles son téton, gardant un œil sur elle. Tu veux voir tout ce qu'elle ressent, tout ce que son visage exprime. Tu descends doucement ta main jusqu'à la passer sous le tissu de son string. Tu caresses son intimité, continuant ton jeu avec son sein. Tu l'entends soupirer ce qui te fais sourire. Tu te sers de tes deux mains pour enlever le dernier tissu qu'elle porte. Elle est enfin nue, elle est enfin à toi. Tu veux profiter d'elle. Tu peux l'avoir pour toi ce soir alors autant en profiter. Tu passes ton doigts dans son intimité, titillant son clitoris. Tu remontes tes lèvres aux siennes. Tu l'embrasses tendrement, passionnément.

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Quand je pense aux filles qui font voeux d'abstinance jusqu'au mariage, je ne peux m'empêcher de rire. Comment font-elles ? Comment peuvent-elles résister à l'appel de cette sensation tellement agréable ? Quand je fais l'amour, je me sens revivre, surtout lorsque c'est avec une personne aussi chaude que Tara. Cette fille est bien trop attirante, cela ne m'étonnerait même pas qu'elle ai réussi à faire changer de bord une hétérosexuelle. En ce moment, je me sens bien capable de lui faire l'amour toute la nuit sur ce canapé, ou même ailleurs, ce qui serait encore plus excitant. Sentir ses mains sur mes fesses me fait frissonner de plaisir et sa remarque comme quoi elle est bien trop sexy me fait esquisser un sourire. La voir bourrée était vraiment amusant. « Ce n'est pas moi qui dirai le contraire, » je réponds d'une voix suave. Lorsque je commence à la caresser, elle soupire d'aise, me donnant ainsi envie de lui faire encore plus plaisir. Je la veux, je veux sentir son dos se cambrer sous mes baisers contre son intimité, la voir prendre du plaisir. Je la veux à tel point que je pourrais en devenir jalouse des autres personnes avec qui elle couche. En deux temps trois mouvements, Tara prend le contrôle et je me retrouve en dessous d'elle, rapidement sans sous-vêtements. À son tour, elle s'occupe de moi et ses caresses le long de mon bas ventre accélèrent ma respiration qui est devenue saccadée. Je bascule ma tête en arrière, me mords la lèvre, commence à gémir de plaisir lorsque ses doigts me pénètrent.  Nous sommes à présent totalement nues, à la merci de l'autre, en parfaite harmonie. Elle joue avec mon clitoris et je ne peux m'empêcher de m'agripper aux coussins du canapé, soupirant à maintes reprises. Lorsqu'elle remonte ses lèvres jusqu'aux miennes, je m'en empare ardemment et l'embrasse avec passion tout en jouant avec sa langue. Je glisse une main jusqu'à sa poitrine dénudée et caresse un de ses seins avec douceur tandis mes jambes emprisonnent son bassin comme si je craignais qu'elle ne disparaisse. Ma main libre caresse ses cheveux avant de venir se faufiler sur sa nuque. Après un instant passé à me faire caresser, je finis par appuyer mes mains contre ses épaules et repris ma place de dominante, à califourchon sur elle. Je me penche pour déposer un baiser entre ses seins, descend le long de son ventre jusqu'à son nombril, arrive au niveau de son sexe. Je recule légèrement, écarte ses jambes et effleure sensuellement son intimité à l'aide de ma langue.

Elle t'avait suivi dans ton délire de bourrée, ce qui t'avais fait rire. Vous vous retrouviez désormais toutes les deux sur le canapé, sans aucun tissus pour vous cachez. Vous étiez à la merci l'une de l'autre. Au début, elle avait le contrôle, mais tu l'avais vite repris en te mettant sur elle. Tu l'avais rien que pour toi, ce qui te réjouissais. Tu ne l'avais jamais vu avec une autre fille que toi, mais si cela arriverait, tu péterais surement ton câble, comme toujours. La jalousie c'est vraiment ton plus grand défaut. Tu ne peux pas t'empêcher d'être jalouse lorsque tu tiens à quelqu'un, c'est pour ça que le plus souvent, tu évites de t'attacher. Il y a bien des fois où tu arrives à la cacher, mais le plus souvent, tu rentres dans le tas et ça part en bagarre. T'es pire qu'un mec sérieux. Tu titilles son intimité et souris en la voyant soupirer et s'agripper aux coussins du canapé. Tu adores voir que tu lui fais prendre du plaisir. Et ce n'est que le début. Vous partagez un baiser passionné alors que tu continues ce que tu fais. Elle attrapes ton seins qu'elle caresse doucement, te faisant frissonner de partout. Elle met ses jambes autour de ton bassin, sa main se baladant dans tes cheveux. Tu passes ta langue sur son seins durcit et continuer de jouer de ton doigt sur son intimité. La faire gémir maintenant serrait trop facile, tu veux prendre ton temps et lui donner le plus de plaisir possible. Que aucune autre femme arrive à la faire ressentir ce que tu lui ferra ressentir. Elle reprend sa place initiale, c'est à dire sur toi. Tu te laisses faire sans broncher.Tu ne la quittes pas des yeux. Elle te rend folle, folle de désir. Elle déposes un baiser entre tes seins puis sur ton ventre jusqu'à arriver à ton sexe. Tu la regardes écarter tes jambes, mordillant ta lèvre de désir. Tu soupire de plaisir, sentant sa langue effleurer ton intimité. Tu veux qu'elle continue, ce qu'elle fait. Tu soupires de plaisir, essayant de t'accrocher à tout ce que tu peux. Tu fermes les yeux, sentant les muscles de ton corps se contracter. Tu laisses même sortir un gémissement assez aigue. Oh Marz'! Tu soupires, encore et encore. Elle va vraiment finir par te rendre dingue. Tu sens sa main remonter jusqu'à ton sein qu'elle saisit. Après quelques minutes de plaisir, elle remonte jusqu'à tes lèvres. Tu l'embrasses à pleine bouche. Tu passes tes mains sur ses fesses que tu caresses. Elle est vraiment géniale. Tu poses tes lèvres sur son cou, lui laissant un petit souvenir de toi. Tu passes ta main sur son intimité, entrant vraiment ton doigt cette fois-ci. Tu l'entends soupirer à ton oreille ce qui te fais sourire. Tu fais des vas-et-viens avec celui ci dans son clitoris avant d'entrer un second doigt.

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J'aurais peut-être du ne pas profiter de son état. J'aurais peut-être du la calmer, l'allonger sur mon canapé sans la mettre à poil et la laisser dormir là. J'aurais du, oui, mais d'une certaine manière cela m'était impossible car je ne peux simplement pas résister lorsqu'elle me fait des avances comme elle l'a si bien fait lorsqu'elle a franchi le seuil de ma porte. Je ne vois pas vraiment Tara comme étant une de mes conquêtes et si je ne me fermais pas autant aux autres, je pourrais presque dire que ressens une sorte d'attachement envers elle. Cependant, je préfère garder cette pensée tapie au fond de mon esprit. En tout cas ce soir, elle est à moi et à personne d'autre. Je l'entends soupirer alors que ma langue se glisse au niveau de son entre-jambe, elle dit mon nom, cela a le don de m'exciter de plus belle. Je remonte mes baisers histoire de retrouver ses lèvres et frissonne lorsqu'elle dépose celles-ci sur mon cou et plaque mes mains contre se hanches afin de garder cette proximité qu'il y a entre nos deux corps. Je sens ses doigts s'introduire dans mon intimité et également un élan de plaisir qui s'empare de mon corps entier telle une immense vague de chaleur. Je gémis, soupire d'aise, glisse mes mains jusqu'à son dos et le griffe légèrement.  « Oh oui, continue, » je la supplie entre deux soupirs. Je vais finir par imploser tellement le plaisir est intense. Sous ses mouvements de vas-et-viens dans mon intimité, je finis par cambrer légèrement le dos et marque un peu plus son dos. Je gémis, frémis, encore et encore, je veux qu'elle continue. Les minutes s'écoulent une idée germe dans mon esprit pervers. Je prends son visage entre mes mains, caressant sa joue à l'aide de mon pouce. « Je sais ce qui te ferait du bien vu ton état, » je murmure, le souffle coupé, me mordant la lèvre en pensant à la suite. Je me lève du canapé, nue, attrape le poignet de Tara et la guide jusqu'à la salle de bain. Une fois à l'intérieure, je la plaque contre le mur et en profite au passage pour allumer le jet d'eau chaude qui ne tarde pas à couler à coté d'eau, éclaboussant notre peau. Je dépose un baiser sur ses lèvres tout en la poussant à l'intérieur de la douche, sous le jet d'eau déjà chaud.

Tu aurais peut être préféré ne pas avoir bu avant de venir ici, mais maintenant c'était trop tard. Tu est là, elle est nue, elle est à toi. Rien qu'à toi. Alors pourquoi ne pas en profiter? Tu vas en profiter, bien en profiter même. Après s'être amusé avec sa langue dans ton intimité, elle t'avait embrassé. Un baiser passionné. Tu laisses ta trace sur son cou, infiltrant tes doigts dans son intimité. Tu fais des vas-et-viens avec tes doigts en elle. Tu l'entends gémir, soupirer, ce qui te fais plaisir. Tu aimes savoir que tu lui fais du bien. Tu sens ses mains passer dans ton dos. Elle te griffes le dos. Tu adores ça. T'adores quand elle est un peu sauvage comme ça. Elle te supplie de continuer. Tu souris et continues, accélérant un peu tes mouvements. Tu adores l'entendre gémir à ton oreille. Elle prend ton visage entre ses mains. Tu arrêtes tes mouvements et la fixes. Tu souris en sentant son pouce caresser ta joue. Elle te dit qu'elle sait qu'est-ce qui te ferrais du bien vu ton état. Ton état? Le fait que tu as bus ou que tu as tellement chaud que tu as l'impression que tu vas exploser? Tu sais que tu peux lui faire confiance, qu'elle sait ce qui te faut. Tu la suis, te demandant où elle t'emmènes. Tu mordilles ta lèvre, la suivant et en profitant pour mater ses fesses. Vous vous retrouvez rapidement dans la salle de bain. Tu n'as même pas le temps de dire ouf qu'elle te colles au mur. Elle dépose un petit baiser sur tes lèvres avant de te pousser sous l'eau. Ok elle parlait de la boisson. Tu fermes les yeux, sentant l'eau couler sur ton corps. Ca te fais du bien. Ca te soulage. Tu sens tes muscles se détendre. Tu ouvres à nouveau les yeux et poses ton regard sur elle. Il est hors de question que tu sois la seule trempé. Tu attrapes son bras et la tire sous l'eau chaude. Tu la colle à ton corps et poses tes mains sur tes fesses. Tu met ta tête dans son cou, déposant quelques baisers dessus. Tu profites de son corps contre le tien, c'est une sorte de petite pause avant de reprendre les choses sérieuses. Car tu en as pas fini avec elle, à ça non. Tu sais que cette douche va faire descendre l'effet de l'alcool. Tu y verras plus clair, et prendras surement beaucoup plus de plaisir. Tu relèves la tête et mordilles sa lèvre. Merci. Tu baisses le regard vers ses seins. Elle est vraiment bien foutu. Tu la pousse contre la paroi de la douche et tu te colles à elle. Tu l'embrasses fougueusement, attrapant ses jambes, les mettant autour de ta taille. Tu poses tes mains sur ses fesses et l'embrasse à nouveau.

don't you feel how much i want you ?

Petit à petit, je sens l'effet du joint se dissiper. Je retrouve mes esprits, je me rends enfin compte de ce qu'il se passe et cela ne me fait qu'encore plus de bien. J'ai chaud, très chaud, quelques gouttes de sueur perlent le long de mon front et j'ai de plus en plus de mal a avoir une respiration normale. Elle sait s'y faire avec moi et de mon coté, je sais ce qu'il lui plait. C'est ça qui est génial, on prend notre pied toutes les deux. Tara m'attire sous la douche au même moment où je l'y pousse et le contact de l'eau chaude sur ma peau me donne encore plus de frissons. Rapidement, je profite de pouvoir la regarder nue et souris face à sa beauté. Ses mains sur mes fesses, j'entoure sa nuque de mes bras et rejette légèrement la tête en arrière en sentant ses lèvres s'occuper de mon cou. J'entre-ouvre mes lèvres, je profite de ce répit pour reprendre le contrôle de ma respiration jusqu'à ce que baisers ne m'en empêchent. Elle me mordille la lèvre, cela continue de faire monter mon excitation. Soudainement, elle me plaque contre la vitre et le contact du froid sur ma peau brûlante me fait l'effet d'un choc électrique plutôt agréable. Elle s'empare de ma jambe et je pose mes mains sur ses hanches pour l'attirer un peu plus contre moi, frottant mon sexe contre le sien. Petit à petit, l'odeur d'alcool qui était imprégnée dans ses cheveux se dissipe, bien que j'avais fini par m'y habituer. Mes mains quittent ses hanches pour commencer à jouer dans ses cheveux tandis que mes lèvres s'emparent des siennes, l'embrassant comme si je ne l'avais plus fait depuis des mois. Je me sens bien avec elle, mieux qu'avec la plupart des autre abrutis. Je n'ai pas envie qu'elle s'en aie et de toute façon, je ne la laisserais pas partir. Me détachement doucement de ses lèvres, je lève les yeux pour croiser les siens et calme pour un court instant mes ardeurs. Ma poitrine se soulève rapidement, ma jambe descend de sa taille et mes doigts ne font plus qu'effleurer sa peau. « Ca te dit de rester la nuit ? » Je ne vais pas jusqu'à dire dormir, même si je me doute qu'après l'alcool qu'elle a du ingurgiter elle va sûrement finir par s'affaler que ce soit sur le canapé où dans mon lit.

Tu sentais l'effet de l'alcool se dissiper petit à petit alors que vous étiez sous l'eau chaude. Tu t'étais collé à elle, déposant des baisers sur son cou. Les mains sur ses fesses, tu en profites pour mordiller sa lèvre. Tu l'avais par la suite, poussé contre la paroi de la douche et l'avais embrassé. Tes mains posaient sur ses fesses à nouveau, ses jambes autour de ta taille. Ton sexe frotte contre le sien ce qui te donnes encore plus envie d'elle. Et ton envie était déjà à un très haut niveau. Tu souris lorsque tu croises son regard avant qu'elle enlève ses jambes. Elle te propose de rester cette nuit. Un second sourire. Bien sûr. Tu comptais déjà rester de toute façon. Tu pensais vraiment que j'allais me casser? Tu te moques un peu d'elle avant de poser tes lèvres sur les siennes. Maintenant que l'alcool n'as plus le dessus sur toi, tu attrapes sa main et l'emmènes en dehors de la douche. Tu attrapes une serviette qui est pendu et t'en sers pour la sécher. Tu en profites pour frotter son corps avec la serviette et déposer quelques baisers sur sa peau. Après l'avoir sécher, tu fais de même avec ton corps avant de reprendre sa main et de l'emmener en dehors de la salle de bain. Tu es déjà venue une fois ici. Alors, tu sais où se trouve sa chambre, enfin tu le crois. Tu te diriges vers la porte et l'ouvres. Gagné. Tu entres dans sa chambre et après avoir fermé la porte, tu la colles à celle-ci, l'embrassant à nouveau fougueusement. Tes mains se baladent sur son corps, sentant la douceur de sa peau. Elle te plait vraiment Marzia. Au fait, tu n'as pas l'habitude de venir comme ça, même bourré chez une de tes conquêtes. Mais, elle c'est différent. Tu ne sais pas pourquoi, tu ne sais pas comment, mais elle est différente. Et tu sais que tu lui plais aussi. En même temps, tu plais à tout le monde. Non, tu ne te la pette pas, tu sais juste ce que tu vaux. Tu détaches tes lèvres des siennes et recules jusque son lit, la tirant avec toi. Tu la pousses sur le lit. Et là, te viens une idée. Mal grès que vous devrez vous laver à nouveau, tu as envie de succomber à la tentation. T'as de la chantilly ou du chocolat? T'as toujours rêver de faire ça. Comme dans les films. Mais d'habitude, quand tu couches avec une femme ou un homme, tu as bien bu et vous ne prenez pas le temps pour ce genre de choses, vous allez direct au but.

don't you feel how much i want you ?

Sa remarque me fait froncer le nez alors qu'elle se paie royalement ma tête mais je ne peux lui râler dessus plus longtemps car elle s'empare à nouveau de mes lèvres. Lorsqu'elle me tire de sous la douche, je coupe l'eau d'un geste rapide et la laisse me sécher, prenant plaisir à la sentir caresser mon corps entier à l'aide d'une serviette accompagnés de plusieurs baisers qui me font frissonner. Une fois qu'elle a terminé, elle me guide à travers mon appartement en direction de ma chambre. Le fait qu'elle connaisse si bien mon appartement m'amuse, en même temps ce n'est pas la première fois qu'elle vient. En y repensant, Tara est un des seules personnes a avoir franchi le seuil de mon chez moi et la seule a y être venue une seconde fois. Elle entre dans ma chambre et me pousse jusqu'au lit. Je me laisse docilement faire, mes bras entourant sa nuque en continuant de l'embrasser avec passion. Je finis couchée sur mon lit, toujours entièrement nue et Tara me propose quelque chose qui me tire un sourire pervers. Je n'ai jamais fait ça mais je dois avouer que l'idée ne me déplaît pas du tout. « Je dois bien avoir ça. » Je me lève et me dirige jusqu'à la cuisine, ouvre les tiroirs, le frigo, et tombe sur une bouteille en plastique de chocolat liquide. Je ne sais plus pourquoi je l'ai acheté, sûrement pour recouvrir mon pot de glace lors de mes grandes soirées en solitaire. Fière de ma trouvaille, je retourne dans ma chambre et marche jusqu'au lit où m'attend Tara en brandissant la bouteille. « Et maintenant, montre moi ce qui tu comptes en faire, » je glisse en montant à quatre pattes sur mon lit avant de venir déposer un baiser dans son cou, posant la bouteille à coté d'elle. Je suis curieuse, je veux savoir quelle idée se trame derrière sa tête, j'en suis toute impatiente. Je m'assieds sur mes pieds face à elle et attend patiemment qu'elle s'occupe de moi, des tas d'idées virevoltant en tout sens dans ma tête.  

Maintenant que l'alcool était redescendu, vous pouviez reprendre vos activités commencées sur le canapé. Tu l'emmenas dans sa chambre où tu la couchas sur le lit. Tu avais eu une idée. Tu lui avais demandé si elle avait de la chantilly ou du chocolat dans son frigo. Tu avais envie d'un plaisir gourmand. Si on peut mélanger sexe et gourmandise, tu ne peux que être ravie. Elle te dis qu'elle doit bien avoir ça. Tu souris, la laissant partir en direction de la cuisine. En l'attendant, tu décides de t'asseoir sur le bord du lit. Tu regardes autour de toi, contemplant la déco assez modeste de sa chambre. Tu la vois revenir, quelques minutes après, une bouteille de chocolat liquide dans la main. Parfait. Elle te demandes de montrer ce que tu comptes en faire désormais. Tu souris à nouveau. Tu frisonnes légèrement en sentant ses lèvres se poser sur ton cou avant de poser la bouteille à côté de toi. Elle s'assoit, croisant les jambes. Tu te penches vers elle et l'embrasses avant d'ouvrir la bouteille. Tu lèves la bouteille au dessus de ses épaules et laisses le chocolat couler le long de son corps. Tu le regardes couler le long de ses seins et de son bassin. Tu souris et après en avoir mis assez pour pouvoir bien t'amuser à tout lécher, tu fermes la bouteille et la reposes sur le côté. Tu passes ta langue sur tes lèvres, regardant son corps enduit de chocolat. C'est très appétissant. Tu te penches vers elle et passes ta langue sur ses épaules, léchant le chocolat qu'il y avait dessus. Tu poses ta main au dessus de sa poitrine et la pousses, la forçant à se coucher. Tu te met au dessus d'elle et mordille ta lèvre. Tu m'excites encore plus remplit de chocolat. Tu passes ta langue au dessus de sa poitrine, ne laissant aucune goute de chocolat. Tu descends tes lèvres sur ses seins que tu lèches et suces. Tu en profites pour mordiller légèrement ses tétons avant de descendre au niveau de son ventre. Tu poses tes mains sur ses côtés, arrivant à l'endroit que tu préfères. Tu écartes doucement ses jambes, voyant que du chocolat à coulé sur son sexe. Tu lèves les yeux vers elle et lui offres un sourire avant de te mettre à lécher son intimité. Tu fais des vas-et-viens dans son intimité. Tu sens que tu lui donnes du plaisir et c'est tout ce que tu veux. Tu remontes tes lèvres quelques minutes après, à son ventre où tu y déposes quelques baisers.